Vue aérienne de la ville, la plage et des falaises de DieppeVue aérienne de la ville, la plage et des falaises de Dieppe
©Vue aérienne de Dieppe|Thomas Delaunay

La destination Dieppe-Normandie

La destination Dieppe-Normandie a pour territoire de compétence les 16 communes de la Communauté d’Agglomération de la Région Dieppoise et les 24 communes de la Communauté de Communes Falaises du Talou.

  • Dieppe

    Dieppe, située à 170 km de Paris, est la plage la plus proche de la capitale (2 heures par l’A13), mais elle est aussi reliée aux grandes agglomérations du grand nord-ouest européen grâce à un maillage autoroutier. Par la route, elle est desservie au sud par la RN 27 (2×2 voies) qui débouche à l’embranchement de l’A151 vers Rouen (58 km), de l’A29 vers Le Havre (114 km) ou le nord de la France et le grand nord-ouest européen via l’A 28. A 1h30 du Touquet et de Deauville par l’A28 et l’A29, Dieppe est à quelques encablures des sites réputés de la Côte d’Albâtre, comme Varengeville-sur-Mer, Veules-les-Roses, Etretat… à l’ouest et de la Côte d’Opale à l’est (Le Touquet, Le Tréport).

    > Ville de Dieppe

  • Ancourt

    Population totale : 724 habitants (2006)

    Le nom de cette commune signifie étymologiquement « le domaine d´Angione », du latin cortis (domaine rural). Avant 830, la commune s’appelait Aionecurte (ou Aionecorte). Le village était traversé par la voie romaine de Dieppe à Beauvais, d’où différentes découvertes archéologiques de l’époque gallo-romaine.

  • Arques-la-Bataille

    Population totale : 2 535 habitants (2011)

    La commune tire son nom du mot « arcas », désignant les arches d’un pont sur la Varenne qui traverse le bourg. Le qualificatif « la Bataille » a été ajouté par décision du 23 août 1882, à la mémoire de la célèbre bataille d’Arques mené par Henri IV.

    Située à quelques minutes du centre de Dieppe,  réputée pour son château, son église et son jubé, Arques-la-Bataille séduit aussi par son environnement naturel exceptionnel.
    L’une des particularités de la commune est la présence très forte de l’eau. Outre ses divers plans d’eau, Arques-la-Bataille est traversée par trois rivières (la Béthune, l’Eaulne et la Varenne) qui se rejoignent sur son territoire pour former l’un des plus petits fleuves de France, l’Arques, qui se jette dans la Manche à Dieppe.

    Monuments : Eglise renaissance Notre Dame de l’Ascension (jubé et retable), ruines du château médiéval (XI è), groupe scolaire (style bauhaus), baillage (Henri IV et sa maréchaussée), forêt d’Arques, avenue verte.

    > Mairie d’Arques-la-Bataille

  • Aubermesnil-Beaumais

    Population totale : 455 habitants (2006)

    Aubermesnil et Beaumais étaient autrefois des villages voisins. Le nom « Aubermesnil » a pour signification étymologique « le mesnil (ou domaine) d’Osbern », prénom scandinave, tandis que « Beaumais » vient de « belmeis » au XIIème siècle, « belle maison » du latin « bellus et « mansus ».
    Les premières mentions de ces communes remontent au XIIIème siècle : la première relevait alors de l’Abbayes de Cormeilles tandis que la seconde dépendait de l’Abbaye de Saint-Wandrille. Les paroisses ont été réunies par une ordonnance royale du 24 avril 1822.

  • Avesnes-en-Val

    Population : 286 habitants

  • Bailly-en-Rivière
  • Bellengreville
  • Canehan
  • Colmesnil-Manneville

    Population totale : 136 habitants (2006)

    Colmesnil veut dire « le domaine de Koli », du bas latin « mensionile », domaine rural, précédé du nom de personne scandinave Koli. Colmesnil-Manneville s´appelait au 13e siècle « Collemesnil ». La village avait été occupé dès l’époque celtique : avant leur destruction sur l’ordre du marquis de Manneville en 1777, il existait sur ce territoire plusieurs mottes celtiques. La préposition « Manneville » n’apparaît qu’au 17e siècle, lorsque la famille De Manneville prend possession du fief qui sera pendant deux siècles le siège des terres de cette illustre famille.

    > Mairie de Colmesnil-Manneville

     

  • Cuverville-sur-Yères
  • Dampierre-Saint-Nicolas
  • Douvrend
  • Envermeu
  • Freulleville
  • Grèges

    Population totale : 796 habitants (2006)

    « Greiges » apparaît dès le IXème siècle dans une charte de Charles le Chauve. L’église Sainte-Madeleine est citée au Haut-Moyen Age : la paroisse appartenait aux chanoines de la Cathédrale de Rouen. Plusieurs édifices du village datent du XVème et du XVIème siècles.

    > Mairie de Grèges

  • Hautot-sur-Mer

    Population totale : 2076 habitants (2006)

    Monuments : Eglise Saint Rémy d’Hautot, les ruines du château des Hotot

    La commune d’Hautot-sur-Mer a été constituée lors de la réunification par décret royal en date 10 juillet 1822 de trois anciens villages : Hautot (Hotot-sur-Dieppe), Pourville et Petit-Appeville (jadis Appeville-le-Petit).

    Les premières mentions de ces trois communes remontent au XIe siècle, époque durant laquelle les sires de Hotot étaient de très puissants seigneurs. Thomas Beckett (archevêque de Canterbury au 12e siècle), Jacques de Molay (Grand Maître des Templiers au 13e siècle), et la Duchesse de Longueville (17e siècle), sont quelques-unes des personnalités qui apparaissent dans l’histoire de ces anciennes communes.

    Au XIXe siècle, notamment grâce à son casino, Pourville devint une station balnéaire à la mode qui attira de nombreuses personnalités en séjour ou en résidence secondaire : les peintres Claude Monet et Auguste Renoir, les comédiens Louis Baron et Blanche Pierson, la joueuse de tennis Suzanne Lenglen, le musicien Claude Debussy ou encore les écrivains Louis Aragon, André Breton, Jean Cocteau et Marcel Proust. C’est aussi à Pourville que se déroula une des pages les plus tragiques de l’histoire de la Seconde Guerre Mondiale, l’Opération Jubilée, c’est-à-dire le débarquement des troupes alliées canadiennes le 19 août 1942.

    > Mairie d’Hautot-sur-Mer

  • Les Ifs
  • Martigny

    Population totale : 498 habitants (2006)

    Martigny doit son implantation d’une part à une excellente situation géographique, au commencement de la vallée de la Varenne sur des terres non inondées et abritées de chaque côté par des coteaux recouverts de forêts, d’autre part à la très grande qualité de la terre et aux ressources nombreuses de la rivière. « Martigny » vient étymologiquement du nom de domaine gallo-romain « Martiniacum », composé avec le prénom Martin, « Martinus ». Les premières mentions de la commune remontent au 11e siècle, à propos de l’église qui existait déjà. La paroisse fut en effet rendue à l’abbaye de Saint-Wandrille par le Duc Richard II en 1024.

    > Mairie de Martigny

  • Martin-Eglise

    Population totale : 1 512 habitants (2006)

    Les découvertes archéologiques attestent que le village existait déjà à l’époque gallo-romaine. Le territoire de Martin-Eglise a appartenu à l’Eglise de Rouen de 762 (premières mentions) jusqu’à sa vente à la fin du xe siècle par l’Archevêque Robert de Normandie, fils de Richard Ier, au seigneur Giffart.

    L’ancien village d’Etran fut réuni à Martin-Eglise par décret du Roi signé le 19 mars 1829. C’est du port d’Etran que l’Armée de Guillaume le Conquérant campée à Martin-Eglise s’embarqua en 1066 pour la deuxième conquête de l’Angleterre.

    Le village s’appela Saint-Martin-Eglise à partir de 1820. A la Révolution, le préfixe « Saint » fut retiré de tous les noms de lieux, puis restitué. Martin-Eglise, qui n’avait jamais été « Saint-Martin-Eglise », fut alors pendant quelques temps doté de cette préposition. La rectification du nom fut demandée en 1860, ce qui fut fait par décret préfectoral en 1867 : il retrouva alors son ancien nom.

    > Mairie de Martin-Eglise

  • Meulers
  • Notre-Dame-d'Aliermont
  • Offranville

    Population totale : 3 643 habitants (2006)

    Monuments : Eglise Saint Ouen au clocher tors, if millénaire, circuit des colombiers, Avenue Verte. Musée Jacques Emile Blanche

    > Mairie d’Offranville

  • Petit-Caux
  • Ricarville-du-Val
  • Rouxmesnil-Bouteilles

    Population totale : 1 890 habitants (2006)

    Les premières mentions de Bouteilles remontent à une charte de VIIe siècle qui concernait les salines : le village possédait en effet de nombreuses salines, objets de convoitises des plus grandes abbayes normandes du XIe au XVIe siècle.

    > Mairie de Rouxmesnil-Bouteilles

  • Saint-Aubin-le-Cauf
  • Saint-Aubin-sur-Scie

    Population totale : 1 302 habitants (2006)

    Le nom de la commune était à l’origine « Sancti Albini » ; le qualificatif « sur-Scie » a été ajouté à une époque inconnue du fait que la rivière La Scie traverse la commune.

    Les premières mentions de la paroisse de Saint-Aubin-sur-Scie remontent au XIe siècle, lorsque la Baronnie du Jardin a été donnée vers 1030 aux religieux de l’Abbaye de Fécamp par Renaud, vicomte d’Arques. Saint-Aubin appartenait au comte de Ponthieu en 1219.

    > Mairie de Saint-Aubin-sur-Scie

  • Sainte-Marguerite-sur-Mer

    Population totale : 514 habitants (2006)

    Sainte Marguerite sur Mer est une commune normande nichée au flanc d’une falaise de la Côte d’Albâtre. Située dans un site exceptionnel, entre la pointe de l’Ailly et le débouché de la vallée de la Saâne, Sainte Marguerite sur Mer se présente comme un village rural et balnéaire, avec ses pâturages, ses cultures, ses jardins, son bois, sa plage, son phare et ses grèves réputées pour la pêche à pieds. A son origine, le village s’appelait Caprimont. Il avait été choisi par l’administration gallo-romaine pour y établir une villa, résidence du gouverneur.

    Au XIIème siècle s’achève la construction d’une belle église romane qui fut remaniée au XVIe siècle.

    Le phare domine la pointe de l’Ailly et son bois, offrant un magnifique panorama sur la mer et sur la campagne environnante.

    > Mairie de Sainte-Marguerite-sur-Mer

    Sainte-Marguerite-sur-Mer a été le théâtre du débarquement du 19 août 1942 : sur sa plage débarqua le commando allié n°4 aux ordres de Lord Lovat. Après avoir détruit les batteries ennemies de Blancmesnil, ces soldats se réembarquèrent à Vasterival.

    Monuments : Eglise Sainte Marguerite, Cap d’Ailly

  • Saint-Jacques-d'Aliermont
  • Saint-Martin-le-Gaillard
  • Saint-Nicolas-d'Aliermont
  • Saint-Ouen-sous-Bailly
  • Saint-Vaast-d'Equiqueville
  • Sauchay
  • Sauqueville

    Population totale : 375 habitants (2006)

    Les sources les plus anciennes sur Sauqueville remontent au 12e siècle, siècle de création de la collégiale. Outre cette collégiale, le village possédait encore en 1479 un hôpital réservé aux pauvres et placé sous la protection de Saint Jean. Au 16e siècle, le fief de Sauqueville dépendait au 2/8 des chanoines de cette collégiale, le reste relevant de la châtellenie de Longueil.

  • Sept-Meules
  • Touffreville-sur-Eu
  • Tourville-sur-Arques

    Population totale : 1 185 habitants (2006)

    Les premières mentions sur cette commune remontent au 11e siècle. En 1466, le fief de Salsomesnil à Tourville fut reconnue « franche et noble vavassorie ».

    > Mairie de Sauqueville

  • Varengeville-sur-Mer

    Population totale : 1 113 habitants (2006)

    Le site et la proximité de la mer ont dû de tous temps retenir les hommes. Calètes, Romains, Normands ont tous, tour à tour, vécu dans ces lieux. Le 19 août 1942, VARENGEVILLE SUR MER fut témoin d’un brillant fait d’armes du commando britannique qui détruisit la batterie allemande installée à VASTERIVAL. Ce n’est que le 1er septembre 1944, à l’arrivée des canadiens, que l’ennemi quitta le pays.

    Depuis la fin du XIXème siècle, VARENGEVILLE SUR MER est devenu un village résidentiel, lieu privilégié de peintres, musiciens, écrivains, artistes de tous genres ou simples amoureux de la nature.

    Monuments : Eglise de Saint-Valéry et son cimetière marin (tombe et vitraux de Georges Braque).

    > Mairie de Varengeville-sur-Mer

  • Villy-sur-Yères
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